ma note
-/5

moyenne
2.40/5

Duelist

nombre de notes: 1nombre de notes: 5nombre de notes: 4nombre de notes: 6nombre de notes: 9nombre de notes: 3nombre de notes: 1nombre de notes: 3nombre de notes: 2nombre de notes: 4

les avis de Cinemasie

5 critiques: 2/5

vos avis

33 critiques: 2.25/5

visiteurnote
antigone 3.75
aucun 1.5
Bastian Meiresonne 4
Black_pantha 1.5
changlong 2
Chip E 1.5
chronofixer 2.5
cityhunter 1.5
dll_povtyp 1.5
el sinior canard 0.75
elodie76 4.5
geez 2.25
Hots@uce 0.5
Inoran 2.25
Izzy 2
Jérémy 0.5
koalaurent 0.75
lesamouraifou 3.5
LiMuBai 2
lo sam pao 2.25
Manolo 2
niconewfunk 4.75
orakio 4.5
Pikul 2.75
Sadako 1
Samehada 3
sassy 4.5
Sauzer 2.25
Scaar Alexander Trox 3.75
Scalp 1
Simon VD 2.25
Tred 0.25
tu0r 1.25


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Un trailer bien mieux que le film....

..Le trailer m'avais pourtant mis en appetit... Je lance mon vcd et la je découvre un film avec des acteurs completement à cote de la plaque, les scenes comiques sont plutot navrantes avec une actrices qui n'est pas du tout crédible. Les costumes qui pour ce genre de film se doivent d'etre soignés sont loin d'etre a la hauteur, on se croirait au carnaval (qu'on viennent pas me dire que je ne connais pas les costumes traditionnel ou je ne c'est quoi...ya pas de soucis de realisme suffit de faire attention aux details... c'est dramatique) ...ET en ce qui concerne le partie policiere du film on est tout autant desapointé.... l'intrigue est à deux sous (sans vouloir faire de jeux de mots), et sans veritable boulversement... je met 1.5 pour deux trois scenes plutot bien faites.

06 mars 2006
par aucun


Ill-umination

N'en déplaise à ses détracteurs, LEE Myung-Se reste totalement fidèle à lui-même. Décrié depuis toujours par les critiques (coréens) de privilégier la forme sur le fond, il abandonne cette fois franchement toute trame narrative pour signer un brillant exercice de style; étonnant, notamment pour tous ceux affiliés au manwha original, dont l'intrigue regorge de nombreux rebondissements dramatiques parfois à la limite du raisonnable. Une fois ce concept accepté, il faut tout simplement se laisser emporter dans le tourbillon d'images proposées par le follement génial cinéaste. Parfois imbu de sa propre personne, il y a de quoi, tant il réussit à réinventer les codes d'un genre en revenant aux sources même : point besoin de donner dans une nouvelle surenchère d'effets de câbles (à la "Seven swords") ou de médiocres effets spéciaux ("Wu Ji" et pléthore d'autres films asiatiques cherchant vainement à imiter leurs confrères américains ou néo-zélandais); mais de chorégraphies patiemment étudiées et surtout, SURTOUT des jeux de lumière et mouvements de caméra tout simplement bluffant. Nul besoin de prédire, que la géniale inventivité du cinéaste fera des émules, tant chaque scène est pensée dans ses moindres détails. Les passages dans l'étroit couloir où les corps se fendent dans un noir absolu et où seuls quelques scintillements vient parfois rendre compte de la position des deux ennemis jurés est d'une maîtrise cinématographique rarement atteinte. Maintenant, il est clair, que ce pari risqué et ambitieux est à double tranchant : on y adhère ou la simple plastique (parfois) froide laisse totalement indifférent; en revanche, aucune tergiversation possible quant à la réelle maîtrise technique de l'ensemble - et à LEE d'oser aller à l'encontre de toutes les attentes en signant sa très personnelle adaptation des aventures des populaires détectives.

09 mars 2006
par Bastian Meiresonne


Tambouille poussive

Cette production sud-coréenne fait, dans ses meilleurs moments, penser à du Tsui Hark du pauvre, avec un traitement narratif, une mise en scène et un rythme de découpage assez similaires. Mais le réalisateur, le chef-opérateur et le monteur veulent trop en faire, et ça ne tient vite plus vraiment debout: entre esthétisme ultra-moderne hérité de la culture MTV, histoire, décors et costumes médiévaux, en passant par la comédie historico-policière et le film « pro-traditions » de base, il faut choisir; ce n'est hélas pas ce qu'ils ont su faire. Duelist n'est alors plus qu'une grosse tambouille quelquefois artistiquement louable – et fort de la pétillante Ha Ji-Won –, mais la plupart du temps fichtrement agaçante, et ce en plusieurs points: du symbolisme et des effets de mise en scène tant vus et revus qu'ils en deviennent bidon sur toute la ligne, de grosse lacunes rythmiques qui laissent la porte ouverte aux longueurs, des séquences de combat manquant de souffle et d'envergure, toutes ces faiblesses réunies rendant le visionnage du film plutôt pénible. Les choix musicaux semblent eux aussi des plus douteux: de la soupe rock durant les scènes d'action, de la glucose ringarde à la La Boum pour les passages plus calmes. Si tout ceci se serait avéré parfaitement acceptable au sein d'une production se déroulant dans les années 80, 90 et même 2000, elle ne colle ici pas du tout à l'environnement moyenâgeux de l'entreprise. De surcroît, le dernier quart paraît interminable: surréalisme grotesque, effets d'apesanteur aberrants dans le mauvais sens du terme. Si c'était pour nous fasciner, c'est raté, mais si c'était dans le but de nous arracher quelques ultimes bâillements avant le générique, mission accomplie. Duelist n'a rien d'une catastrophe, que cela soit clair; mais à force de vider toutes sortes d'ingrédients dans sa marmite les yeux fermés, le cuisinier jurera sa bouillabaisse. Voilà ce à quoi auraient du songer les créateurs de ce film.

09 juillet 2006
par Chip E


magnifique ratage

DUELIST fait souffler un vent de fraîcheur et d'originalité, et emmène le wu xia loin dess films traditionnels. enfin ça c'est ce qu'on se dit au début. et on commence rapidement à se dire: mais c'est quoi ce délire? cette réalisation qui suggère beaucoup trop jusqu'à en devenir incohérente? les choix scénaristiques, ainsi que la réalisation et le montage, laissent perplexe et décontenacé. trop d'originalité mal digérée, une histoire finalement trop pauvre comparé au mal de crâne qui en résulte. et on arrive à LA qualité du film: l'ésthétique. c'est vraiment somptueux. basta ne parlons pas des scènes d'actions qui oscillent entre l'illisible et le poétique certes magnifique mais sans aucun intérêt martial. je pensais vraimment adhérer au film durant le premier quart d'heure, mais le côté brouillon du récit et l'ennui dû à des choix rythmiques très particuliers l'ont emporté. bien dommage.

06 juin 2006
par chronofixer


Magnifique

Il n'est pas question de parler de sacrifice du scénario au profit de l'esthétique quand tout l'intérêt du film réside justement dans cette esthétique, dont la fonction n'est pas seulement décorative mais aussi narrative. Alors oui, sur le papier, l'histoire et les personnages sont des ébauches. Mais tout dessinateur sait qu'un croquis peut laisser passer mille fois plus de beauté et d'énergie qu'une peinture finie. C'est ce qui se passe avec Sad Eyes, notamment. Il faut l'avouer, Kang Dong Won est sublime, mais surtout son personnage a le bon goût de rester mystérieux comme peut l'être un personnage tel que le Vampire Hunter D dans l'adaptation de l'oeuvre éponyme par Kawajiri. L'histoire d'amour de Duelist est elle aussi esquissée sur le papier, mais tout ce qui n'est pas dit dans le scénario passe par les mouvements des corps, des couleurs, par les sons, les symboles, dans ces combats dont la fonction est clairement érotico-romantique. En un mot : Magnifique.

17 avril 2006
par elodie76


Très long et terriblement vide, comme à son habitude le réalisateur préfère la fome au fond.



10 août 2010
par Jérémy


Un mélange des genres bien ratté.

Vu au festival de Deauville 2006. Je vous le déconseille vraiment. A moins de vouloir voir HA Ji-Won dans son plus mauvais film... sinon aucun intérêt. Ah si peut-être une chose à la rigueur, "le visuel" comme on dit.

22 juillet 2006
par koalaurent


DECEVANT

Coupable il y a quelques années de NOWHERE TO HIDE, film que j'avais estimé, et il me semble à juste titre, totalement désastreux dans lequel alternaient scènes de toute beauté et scènes exagérées et ridicules au possible, Lee Myung-Se revient sur les devants de la scéne cinématographique avec DUELIST, métrage tiré d'une bande dessinée très populaire au pays du Matin Calme. Et de nouveau, il faut bien se rendre à l'évidence que Lee Myung-Se ne conainc pas. En effet, le réalisateur coréen accumule réussites incontestables (esthétisme de tous les instants, combats sensuels et envoûtants, personnage de Les Yeux Tristes charismatique dont l'élégance au maniement du sabre constitue indéniablement l'intérêt principal du film, histoire d'amour originale et envoûtante traitée avec parfois une certaine poésie) et désastres comico-dramatiques évidents (hurlements infondés et grimaces forcées pour le personnage joué par Ha Ji-Won, situations pseudo-humoristiques et jeux de mots dont le propos se situe trop souvent sous la ceinture lorgnant tous deux vers Benny Hill) et s'il m'a paru incontestable que Lee Myung-Se est un surdoué de la caméra, on ne peut pas vraiment en dire autant de son talent de conteur puisqu'il échoue sur toute la ligne pour impliquer durablement le spectateur au drame amoureux qu'il porte si maladroitement à l'écran. En conclusion, DUELIST est film qui mise sur la forme au détriment du fond, dans lequel les longueurs sont légions et qui n'a finalement que trop peu d'intérêt. Je ne connais absolument pas la bande dessinée mais DUELIST aurait indéniablement mérité un traitement plus noble.

24 mai 2006
par LiMuBai


Un ballet, une pièce de théatre, une "expérience essentiellement visuelle"

Avant-propos : Il est des souvenirs ou expériences qui marquent. Ca a été le cas pour moi en voyant Sur la trace du Serpent (Nowhere to hide), d'autant plus que j'ai eu la chance de le découvrir au cinéma. Loin d'être parfait, je m'étais demandé à plusieurs reprises lors de la vision du film si le réalisateur LEE Myung-See se moquait des spectateurs ou pas, alliant des moments burlesques/déconnade genre Benny Hill ou film parodique amateur... à de moments d'une beauté et d'un esthétisme rare... Et des fois les deux l'un juste après l'autre. Un film qui m'est resté dans la tete et que j'ai de plus en plus appris à apprécier avec le temps j'avoue. Donc quand j'ai vu, de passage dans une boutique, la bande annonce de DUELIST (que je ne connaissais pas du tout), j'ai tout de suite été scotché et ai voulu regarder l'intégralité de la bande annonce. C'est là, en découvrant que c'était LEE Myung-See qui avait réalisé le dit métrage que j'ai décidément voulu en savoir plus et ai donc acheté l'oeuvre

Critique : Tout comme Nowhere to Hide, ce film n'est pas exempt de défauts : l'approche esthétique y est très travaillée, ce qui est la plus grande force du film... mais aussi donc sa faiblesse. L'histoire, les personnages, ne sont que des esquisses, le tout emporté dans une danse à l'arrière goût délicieux et à la passion fortement prononcée. Donc oui, ceux qui s'attendent à une "véritable" histoire ou à un polar risquent fortement d'etre décus Pourtant LEE Myung-See ne cherche pas spécialement à s'adresser à une élite intellectuelle qui parlera du film lors de soirées branchouilles ou à réaliser un clip d'arts contemporains destiné à ne pas du tout se faire comprendre. Non, le réalisateur aime ce qui est beau, et il le filme / met en scène. La plus grande partie des plans sont ultra léchés, tant en terme de photographie que de cadrage, et les combats quant à eux, même s'ils ne misent absolument pas sur les compétences martiales des acteurs, se révèlent de toute beauté car complètement fantasmés (en fait les dits combats sont chorégraphiés commes des ballets et rappellent très fortement leur représentation premières au théatre, comme au Kabuki par exemple) Contrairement à un film comme Ashes of Time de Wong Kar Wai (que j'ai adoré), le film se retrouve distillé ici et là de moments burlesques (un peu comme dans Nowhere to Hide) qui sont censés alléger le récit et augmenter le contraste pour savourer plus amplement les "ballets" Malgré tout, le film aurait grandement gagné à voir sa construction scénaristique plus travaillée, ou plutot "moins laissée de coté" En tous cas, si comme moi vous avez pu aimer Nowhere to Hide ou encore Jiang Hu ("The bride with White hair", pas le polar), vous devriez apprécier ce que ce film a à vous apporter. Un sompteux ballet/spectacle



30 janvier 2006
par orakio


IMPARFAIT MAIS FASCINANT

" Duelist " ne plaira pas à tout le monde c' est certain (pas de jugement sur ses détracteurs de ma part) tant ce film est basé sur le principe du contraste.
Le travail sur la lumière en est surement l' exemple le plus frappant. L' obscurité n' aura jamais supplanté la lumière avec autant d'à-propos et de magnificence, plongeant même l' action dans l' ombre (principalement sur la première et  la dernière joute) n' exprimant finalement leurs émotions qu' à travers la lueur de la lame. 
Rien à dire du côté de la mise en scène, au diapason (on peut quand même être gêné par une abondance trop variée de ralentis surtout au début). La diversité des choix musicaux peut dérouter (classique, musique électro., orchestrale, rock et piano, solo de piano...) mais en ce qui me concerne, c'est plutôt efficace.
Encore affaire de contraste l' interpretation des acteurs et surtout de l' actrice passe de la gravité (la plus sérieuse) à la comédie (la plus légère et parfois même émouvante) de facon assez naturelle (frolant tout de même par moment la bouffonerie sans jamais l' atteindre).
Pour finir malgrès une enquête policière pas franchement originale (cet aspect du scénario n' étant sans doute nullement la priorité du réalisateur)  et une durée un peu trop longue, la sincérité de LEE Myung-Se est visible ds chacuns de ses plans.



01 juin 2008
par sassy


Moi qui m'attendais à voir un bon film de d'époque, j'ai été fortement déçu de voir que c'étais une comédie romantico débile...

14 juin 2006
par Simon VD


achat
info
actions
plus