ma note
-/5

In Public

nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 2nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 1nombre de notes: 0nombre de notes: 0

les avis de Cinemasie

1 critiques: 2/5

vos avis

2 critiques: 2.75/5

visiteurnote
Bastian Meiresonne 3.5
chronofixer 2


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Enfermés dehors

Projet tourné dans le cadre du projet annuel du Festival coréen de Jeonchu regroupant trois moyens-métrages de ca. 30 minutes. Jia Zhang-Ke n'est jamais aussi bon, que dans son exceptionnelle capacité à capter le naturalisme de l'instant présent; l'humanisme des gens au quotidien; mais plus encore, il réussit à intégrer à son présent documentaire d'une demi-heure toutes les thématiques et obsessions inclus dans ses longs-métrages. Soit la ville de Datung – finalement pas si différente de sa province natale de Fenyang, Shanxi. Ville minière, l'activité est aujourd'hui interrompue. Malgré la relative pauvreté apparente, les "gueules cassées" semblent vouloir s'adapter à leur tour au changement ambiant: boîtes de nuit, bars à karaoké et vêtements "à la mode" (en retard de quelques années sur celle de l'Europe). Son dernier plan sera tout à cette image: des personnes dansent sur une chanson populiste: "le courageux Peuple chinois ouvrir, marchant d'un pas assuré vers une nouvelle ère"… Entre deux, on aura partagé le bref instant de personnes attendant un train; d'une femme manquant son bus; d'un jeune enfant fixant la caméra au cours de son voyage dans les transports publics…et surtout cet étrange homme assis dans un fauteuil roulant. Un extraordinaire personnage, semblant tout droit issu d'une œuvre de fiction.

11 février 2007
par Bastian Meiresonne


une fois de plus, plus que dispensable

Je ne pensais pas qu'on pouvait faire un court métrage (30 minutes) aussi peu percutant. Connaissant le reste de la filmo de JIA zhang ke, je ne suis qu'à moitié étonné, mais tout de même. En fait même quelque soit le format, j'ai toujours l'impression qu'il pourrait couper 70 % de son montage final, pour en faire quelque chose d'intéresant. Mais ce qui ressort c'est que son propos est inexistant, ou alors carrément trop maigre et distant pour intéresser le spectateur. Ce n'est pas désagréable de se fondre dans l'ambiance, mais voilà, JIA reste trop anecdotique, et on en vient à s'ennuyer très rapidement. Le plus surestimé des réalisateurs chinois à mes yeux.

19 février 2007
par chronofixer


info
actions
plus
  • liens
  • série/remake
  • box office
  • récompenses
  • répliques
  • photos
  • bande annonce
  • extrait audio