sinon tenri ,pas mal renommé et adapte ses horaires selon les gens , c plus ds le style cours particulier celui ci ,pr ça que je mets pas avec les 2 plus haut ,plus universitaires
ça se passe là pr tenri ------> http://perso.wanadoo.fr/asstenri/
L'INALCO, c'est très hard, difficile à concilier avec un boulot ou avec d'autres études. Je l'ai fait pendant un moment pour le chinois, et si la première année est allée comme sur des roulettes (je bossais à temps partiel), par la suite c'est devenu très dur, je n'arrivais pas à être assez assidue. Il y avait 7h30 de cours par semaine, donc beaucoup de soirées prises par ça, et quand on a un boulot, on a bien envie de sortir un peu aussi ou de rester chez soi de temps en temps!
Concernant le dulco de japonais (équivalent du Deug), il se fait en 2 ans contrairement à celui de chinois qui se fait sur 3 ans, donc il y a encore plus d'heures. Je connais quelqu'un qui a fait la première année et il y avait plus de 11h de cours par semaine!
Bref, pour le chinois, je suis passée à une autre formule: la mairie de Paris organise des formations et entre autres des cours de langues. Ce n'est que 2h par semaine, ce qui fait que la prgression est beaucoup plus lente, mais au moins c'est conciliable avec un boulot. Ce qu'il faut ensuite c'est compléter avec des rencontres avec des chinois (il y a plein d'étudiants qui ne demandent que ça!) parce que 2h ça fait pas beaucoup. Mais on a quand même du boulot à faire chez soi, un examen à la fin, et tout. Et ils préparent au HSK (équivalent du TOEFL pour l'anglais).
Pour le japonais, je sais que c'est aussi 2h, et je crois que pour les débutants c'est quelque chose du genre le mardi entre 18h30 et 20h30, donc c'est ok si tu peux te libérer de ton boulot pas trop tard un jour par semaine. Le chinois c'est dans le 8e, près des champs, et le japonais c'est quelque part dans le 15e, ça se passe dans des écoles primaires en général :)
En général, les formations se font sur 4 ans et disons qu'on a un niveau "conversation courante" à la fin. Je suis en niveau 4 en chinois cette année, et je peux déjà pas mal me débrouiller.
Au fait, quand tu entres dans cet organisme municipal, tu passes un test d'entrée. En gros, si tu n'en as jamais fait, tu ne pourras pas faire grand chose donc tu es affecté au niveau débutant. Si tu en as déjà fait, tu es affecté à un niveau qui correspond à ton niveau. Ils m'ont affectée l'année dernière direct en niveau 3.
Pour les prix, c'est 80 Euro par an, il me semble. C'est moins cher que l'INALCO.
Sinon, il y a les fac, mais là il faut avoir son CDI sinon on risque d'avoir à payer la sécu étudiante!
Pour le japonais, tu devrais aussi te renseigner à la Maison de la Culture du Japon, qui se trouve dans le 15e.
J'apprend le japonais depuis près de deux ans dans une école privée située près d'Opéra, l'AAA (21 rue d'Antin) ; je te la conseille vivement: c'est bien foutu, pas trop cher, très accueillant (à la manière japonaise en quelque sorte, avec tout ce que cela comporte d'automatique); bien évidemment tu ne dépasses pas les 3h de cours par semaine mais c'est toujours mieux que l'INALCO.
Petite remarque d'ailleurs au sujet de l'INALCO: il y a quelques mois, un crac de cette merveilleuse école est venu à notre cours à la demande d'un ami; il s'est presenté, ça faisait 7 ans qu'il étudiait de près le japonais, il connaissait 1700 kanjis presque mieux qu'un jap lui même (les profs disaient "sugooooi" tout le temps). A la fin du cours on entre dans la phase "discussion libre", et je me mets à causer avec lui. Il ne pigeait pas un mot toutes les 5 secondes, ça a foutu un léger froid :) bon faut savoir que ma nana est jap et qu'on est ensemble depuis 1 an et demi, et ça ça aide considérablement. Tout ça pour dire: l'INALCO, Jussieu, ou ce genre de choses lorsqu'on veut apprendre une langue, sans vouloir offenser personne, c'est très bien si l'on a un problème avec l'autorité, des lunettes à triple foyer, que l'on aime sa chambre et qu'on a pas d'amis.
Si l'on veut apprendre une langue, on va, comme il a été dit plus haut, à la Maison de la culture à la station Bir-Hakeim, on fréquente assidument des japonais (le risque étant de parler au final un japonais familier, comme moi), et on s'achète un bouquin de kanjis à potasser tous les soirs. Parce que pour apprendre ça, rien ne remplace la bonne vieille volonté, avec ou sans école.
Et si possible, on va au Japon pendant un an (en ayant au préalable appris certains trucs quand même) ;p