tiens le grand silence j'heistait à balancer l'info ici en plus! je suis surpris que les rareté de l'etrnage festival soit si facilement toruvable maintenant.c pas plus mal certes.
en tout cas le grand silence, un chef d'oeuvre du western spaghetti!!avec 2 fins parait il,j'espere qu'elles y sont sur le dvd,en tout k g adoré celle que g vu,plus que deroutante!
>je suis surpris que les rareté de l'etrnage festival ...
et si ce genre de grand festival tres courru, etaiient des laboratoires d'essai pour les editeurs dvd alternatifs ou au ton editorial legerement décalé, ce serait etonnant n'est ce pas ..! ;)
>je suis surpris que les rareté de l'etrnage festival ...
et si ce genre de grand festival tres courru, etaiient des laboratoires d'essai pour les editeurs dvd alternatifs ou au ton editorial legerement décalé, ce serait etonnant n'est ce pas ..! ;)
Seijûro : il y a effectivement les deux fins sur le dvd. Le final absolument incroyable et le final alternatif imposé par certains pays qui refusèrent de le distribuer quand ils virent le résultat. Corbucci dût la retourner à contre-coeur.
30/04/03 11:30 ouin ou wouin ou wouin...wouin wouin wouinin
par Ayler
La référence en cinéma western spaghetti restant tout de même le monument de Sergio Léone : "Le bon, la brute et le truand" !!!
Cela étant, moi aussi je m'intéresse au cinéma internationnal, mais on ne peut pas parler des deux films japonais ? Qui les a vus, qu'est-ce que ça vaut, ect... ?
Le premier est un film de femmes (1 beauté et 5 furies criardes) en prison bien déjanté de passages extrêmes qui tirent quand même largement vers la série B, les critiques cinémasiennes en parlent en long et en large, perso, j'adore cette ambiance de mecs avec des femmes. Comme le répète chris (dans sa critique), Scorpion est belle à tomber par terre.
Le second, je viens de le voir sur canal, et c'est une grosse claque : un esthétisme sans faille de Maître Suzuki, une image 70's superbe qui n'a pas vieilli d'un iota.
Le cadre, un couvent de nonnes à priori interdit aux hommes (et quelques escapades en boîte de nuit délurées) , une jeune femme parfaitment émancipée y entre pour découvrir le secret de la mort de sa mère dans ce couvent. Elle y découvrira avec nous, des pratiques lesbiennes, des abus de pouvoir et sexuels, des tortures (au fouet principalement), du sadisme, du masochisme et de superbes japonaises qui cachent (pas pour longtemps) de non moins superbes poitrines dénudées, une galerie de nonnes qui ont toutes beaucoup à cacher et qui se révèlent bien moins coincées que l'on ne le pense...
Attention, c'est direct, hautement insolent et blasphématoire pour tout bon catholique fervent qui se respecte, mais ce n'est jamais purement vulgaire, c'est même d'une beauté ahurissante : beauté, sainteté, chasteté et perversité, tout un programme. Je suis tombé sous le charme définitivement.